– dosage des minéraux antioxydants zinc, cuivre et sélénium

– le glutathion : notre antioxydant majeur qui diminue vers 45-50 ans et grand détoxifiant dans notre foie

– l’acide urique : si son excès est très désagréable en tant que symptome de la maladie de la goutte, il est utile dans cette fonction car c'est un réel anti-oxydant

– les enzymes antioxydantes : Superoxyde Dismutase (agit en collaboration avec le Cuivre et le Zinc) et la Glutathion Peroxydase (agit en collaboration avec le Sélénium).

– l’homocystéine, qui est un marqueur plutôt ciblé sur le risque cardiovasculaire

– la myélopéroxydase (une enzyme des globules blancs).

Analyses plus avancées

- Le MDA (malonylaldéhyde) : il augmente en cas d’attaque oxydative de nos membranes cellulaires, d’oxydation importante des acides gras sanguins, de risque accru de dommage des parois des artères et des vaisseaux. Il n’est cependant pas très fiable s’il est fait isolément.

- L’isoprostane f2 alpha, c’est un marqueur plus spécifique de l’oxydation des lipides au niveau des parois des vaisseaux et donc des risques cardiovasculaires.

- Les carbonyl protéïnes : elles représentent les protéïnes endommagées par oxydation qui ont ainsi perdu leurs fonctions normales.


Si le bilan du stress oxydant en laboratoire, vu ses contraintes et son coût reste un examen biologique non indispensable dans la prise en charge des effets de l’âge, il peut donner des renseignements utiles dès lors que le budget n’est pas un frein pour le patient.


L'action combinée de la Baicaline riche en polyphénols (flavanoides),
du Zinc et de la Vitamine E naturelle (Alpha-Tocophérol) se révèle fort efficace pour la réduction du stress oxydatif. Des études ont par exemple montré que la Baicaline augmentait significativement l'action du Glutathion au niveau du foie.

Dans le cas d'un traitement de durée plus longue, par exemple trois mois,
il pourra donc être pertinent d'effectuer un bilan comparatif de votre stress oxydatif en le demandant à votre médecin.